Oui, oui, son nom de famille sonne assez québécois, mais il n'en est rien: Ricky Gervais est anglais. Typiquement anglais. Son humour n'est pas slapstick, il ne fait pas rire à force de personnages, les gags ne sont pas gros, mais ils peuvent être méchants, mais ils peuvent être pince-sans-rire, ce qui rend la chose encore plus énervante pour ses cibles. (Interrogation: pourquoi rire quand on pince quelqu'un? Je veux dire.. après lui avoir fait la blague du "T'as quelque chose sous sur le chandail HOP J'TE TOUCHE LE NEZ", ok, ça c'est drôle. Mais pincer quelqu'un? Genre une joue? Je reste de glace)
Tout ça pour dire que Ricky Gervais a animé les Golden Globes dimanche dernier et, calébine de bonne bine, personne ne s'en est vraiment remis, encore. Le cher Ricky a offert une animation pleine de malaises et de gags un peu sous la ceinture qui ont fait faire à plusieurs la face que l'on fait quand quelqu'un passe ses ongles sur un tableau, comme on peut voir ici.
Ensuite, floppée d'articles sur le sujet. Analyses, réactions, même un article où l'on s'interroge sur la disparition mystérieuse de Gervais en deuxième partie de gala sur fond de conspirationnisme.
Puis, cet article de Hugo Dumas sur les Golden Globes. Article qu'il intitule: À quand un Ricky Gervais québécois? Question fort intéressante à laquelle, cette semaine, La Tache tente de répondre.
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