Paying for it, de Chester Brown, est paru ce printemps chez Drawn & Quarterly.
Juste pour être clair : le texte des papillons provient de la préface, de l'introduction et des appendices du livre. C'est pourquoi cet article est intégralement en anglais.
Quelques critiques éclairantes :
Brad Mackay, pour The Globe and Mail
Naomi Fry, pour The Comics Journal
Dwight Garner, pour The New York Times
Jessie Bi, pour du9
3 commentaires:
Peut-être de la critique méta-critique? J'avais l'impression que la dimension méta-critique appartenait aux oeuvres. Quoi qu'en ajoutant ta planche, ça ajoute une dimension de métacritique métacritique. Peut-être pourrais-tu songer à de la cybernétique de deuxième degré?
Mouain... tu as raison. Je n'ai pas du tout inventé la métacritique , je disais n'importe quoi.
On pourrait parler de collage métadiscursif :)
Quant à mon commentaire, c'est une autocritique d'un collage batman-métadiscursif.
(batman, c'est pour faire joli)
Reste que c'est illisible pour les daltoniens.
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